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La femmes plissa mollement les yeux, comme si cette portrait réveillait en elle une connaissance familière. Marianne retourna la second carte. Un masque posé sur une table, à moitié brisé. Une dualité, une alternative entre deux portraits, deux réalités, deux matérialisations qui s’affrontaient. La jolie voyance mettait couramment en date ces instants où l’on devait adopter entre ce que l’on montrait au monde et ce que l’on gardait en main. Enfin, la troisième carte apparut sur le velours. Une horloge avec lequel le cadran était fissuré, le temps suspendu, l’attente qui ne pouvait plus s'enfermer sans cesse. Un frisson parcourut la femmes, une réaction imperceptible mais correctement serieuse. Elle savait. Même sans que Marianne ne dise une expression, elle comprenait ce que les cartes lui renvoyaient. Le chat noyer descendit souplement de son perchoir et s’approcha d’elle, s’installant à ses pieds par exemple s’il reconnaissait en elle une esprit en totalité transition. 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